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Edité le : 09/03/2023
Par Lydia Fournié, journaliste

Après une expérience, sans grande conviction, en études de médecine durant deux ans, Wilfried s'est tourné vers le génie civil. Bien loin des bistouris et points de sutures, c'est vers la soudure qu'il jette son dévolu et devient un pro en la matière. Après six années en tant que soudeur et cinq autres comme chef de chantier, Wilfried aspire désormais à plonger pour exercer ses talents sur les plateformes pétrolières. 

"J'étais callé question soudure, mais aucune expérience côté plongée. L'école Nationale des Scaphandriers m'a ouvert ce monde inconnu pour moi et initié dans le travail en immersion. Les trois premières semaines ont été intenses, mais j'ai adoré. Je plongeais tous les jours pendant le stage d’initiation. Puis j'ai enchainé avec le Classe II A, les normes, la sécurité et comment travailler sous l'eau. Techniquement, je pense que les connaissances soudure et du métier, je les avais. Par contre acquérir le savoir-faire sous l'eau était indispensable", l’ENS m’a tout appris dans ce domaine.

Puis vint pour Wilfried le moment de partir en stage, confié par l'ENS durant cinq semaines à une entreprise basée sur le continent Africain, en Côte-d’Ivoire.

"A l'issue de ma formation, l'entreprise m'a proposé de rester, j'ai entamé un CDD de 10 semaines, comme plongeur et technicien. Aujourd'hui j'y travaille encore. J'enchaine plusieurs semaines de travail pour eux en Afrique, puis reviens pour quelques semaines de repos en métropole. J’en profite pour travailler en intérim en France. Puis je repars en Afrique pour 6 semaines, et ainsi de suite. Je remercie encore l’ENS qui a été à l’écoute de mes souhaits et m’a trouvé exactement l’emploi et la zone géographique que j’avais choisis.

Dans les années à venir, Wilfried a pour objectif dans un premier temps, de devenir superviseur, avant de se lancer le défi d'ouvrir sa propre entreprise.

"J'aime ce métier de soudeur, j'aime l'action et surtout j'aime le fait d'être dans ce casque, sous l'eau".

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