Alors qu'il n'était qu'un apprenti ingénieur au sein de l'entreprise SEANERGY OL, Joey est amené à côtoyer des scaphandriers professionnels et découvre ce métier hors du commun. "J'étais en admiration devant eux, j'ai vu que le métier était passionnant, j'avais envie d'en découvrir encore plus et de comprendre le métier subaquatique".
Après une expérience, sans grande conviction, en études de médecine durant deux ans, Wilfried s'est tourné vers le génie civil. Bien loin des bistouris et points de sutures, c'est vers la soudure qu'il jette son dévolu et devient un pro en la matière. Après six années en tant que soudeur et cinq autres comme chef de chantier, Wilfried aspire désormais à plonger pour exercer ses talents sur les plateformes pétrolières.
Originaire du Haut-Rhin, plus précisément de Riquewhr, charmant village situé sur la route des vins d'Alsace, Thomas Schmidt a grandi bien loin du milieu marin. C'est lors de ses vacances scolaires passées régulièrement jusqu'à l'âge de 16 ans, en Bretagne chez son grand-père, que Thomas découvre et apprivoise avec brio, les joies de la plongée sous-marine.
S'il se définit lui-même comme « le cancre de la classe » plus jeune, Nicolas en manque d’intérêt total pour ce que l'école pouvait lui apprendre, à bien changé depuis.
Après mon baccalauréat, je me suis orienté vers une carrière de compagnon chaudronnier. Par la suite, j’ai exercé pendant quelques années en tant que capitaine de navire sur l’archipel des Comores. C’est à cette époque que j’ai commencé à plonger de manière régulière. De fil en aiguille, j’ai découvert le métier de scaphandrier et j’ai recherché une formation. Le bouche-à-oreille m’a permis de connaître l’Ecole Nationale des Scaphandriers qui venait d’ouvrir ses portes.
J’ai toujours aimé passer mon temps libre dans l’eau. C’est un univers où je me sens bien, où je ressens les choses différemment.
Avant de me tourner vers le métier de scaphandrier, j’ai d’abord été militaire, puis soudeur terrestre, ce qui m’a permis de voyager un peu partout en France et à travers le monde. Je travaillais essentiellement sur des yachts, j’étais donc tout le temps sur l’eau.
Je pratique la plongée depuis tout petit. Pourtant je ne me suis pas orienté tout de suite vers le métier de scaphandrier. J’ai commencé par être cuisinier ! Je n’ai jamais délaissé la plongée et, à l’âge de 20 ans, j’ai eu l’occasion de faire une saison dans les îles Glénan, en centre de plongée.
J’ai pris mon temps pour trouver ma voie. Après un bac pro horticulture, je suis parti un an en Australie. J’ai fait des petits boulots, du surf, de l’apnée. A mon retour, je me suis arrêté à Bali et j’ai découvert la plongée bouteille. J’ai adoré pouvoir rester aussi longtemps sous l’eau et surtout, j’ai pas mal discuté avec l’instructeur sur place, qui m’a convaincu de devenir scaphandrier et de tenter l’ENS.
Le jeune varois soudeur de formation, ne pensait pas embrasser une carrière de scaphandrier auparavant. Pour Eddy le métier comportait des risques et n'était pas à sa portée, « l'école la plus proche à cette époque se situait à Marseille ».
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